Verra-t-on un jour Nicolas Sarkozy museler la presse et l'utiliser comme bon lui semble?
Est-il possible qu'un chef de l'opposition se servant des écrits de Dostoïevsky pendant sa campagne, soit mal perçu s'il devient premier ministre, à tout le moins mal cité?
Pourquoi est-ce que les journalistes et les columnists nous demandent de réagir à leurs écrits et amputent les si précieux commentaires livrés? Ils seraient pourtant les premiers à crier à la censure si on leur servait cette médecine.
La liberté d'expression a toujours été libérée sur parole...
mercredi 27 février 2008
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