samedi 10 novembre 2007

L'ancien futur

Mes amis et moi quand nous avions huit ans, étions persuadés que les automobiles voleraient en l'an 2000. Bien entendu il y a le «SkyCar» de Moller, (www.moller.com) qui devrait être commercialisé bientôt, mais dont le prix de détail à 400,000 u$ fait en sorte qu'il demeure légèrement inaccessible. Il faut aussi prendre en considération qu'avec l'apparition de plusieurs modèles hybrides sur le marché, une auto volante turboréactée à une place, ne rejoint pas vraiment nos préoccupations énergétiques. Nous vivons dans le futur d'un passé qui était plus rêveur...
On est bien loin de Star Trek quand on écoute une fiction comme le «loft». Pourtant si mon père revenait soudainement à la vie, il mourrait de nouveau à la simple vue des guichets automatiques et des cellulaires. On nous dit que les futurologues n'ont pas su prévoir l'arrivée d'internet, mais le vidéophone que l'on pouvait voir dans les séries de science-fiction en est quand même un proche parent. Le handicap des futurologues c'est qu'à force de tout posséder, ils finissent par manquer d'imagination. Dans les années 60, nous n'avions rien et tous les rêves étaient permis, surtout les plus démesurés. Et vous? Qu'est-ce qui vous déçoit le plus dans ce futur devenu notre présent d'aujourd'hui?

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