Après les balles de caoutchouc et le poivre de cayenne, voici que le pistolet électrique risque de se retrouver sur le siège éjectable de la justice. Il aura fallu une vingtaine de morts et l'avis d'une foule d'experts ne voulant pas se mouiller pour déterminer de la dangerosité d'une arme qui était supposée sauver des vies. La GRC se fait mettre en boîte par tous les éditorialistes, pour son manque de transparence et sa mainmise sur tout ce qui peut devenir une preuve contre elle. Le gouvernement canadien et son ministre de la justice sont aussi pointés du doigt pour leur manque de vigilance à encadrer la crise dès le début.
Mon opinion personnelle est que peu inporte l'arme que l'on utilise, si l'intention est totalitaire, le danger pour la vie est bien réel. J'espère ne plus jamais entendre que les individus touchés étaient ivres ou en proie à des substances illicites, car ce serait le début de la fin. Qui protège-t-on? Et de qui les protège-t-on?
dimanche 25 novembre 2007
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