Dans un article du Voir de ce matin, Tristan Malavoy-Racine relate les propos de Jean-François Lisée sur son livre qui vient de paraître Comment mettre la droite K-O en 15 arguments.
Il était à peu près temps que quelqu'un remette les pendules à l'heure face à la montée de cette droite au Québec. Personne ne veut plus entendre les arguments articulés par un gros bon sens issu du fond d'une taverne, sentant la pisse mal visée et les oeufs dans le vinaigre.
Je suis pas mal tanné d'entendre Éric Duhaime discréditer la classe politique du Québec, à grands coups de clichés et de caricatures. Le gourou de la droite, historiquement et politiquement inculte, commente toutes les actions posées par tous les hommes politiques, comme s'il n'y avait jamais rien eu de bon d'accompli au fil des années. Jamais d'ébauches de solutions; du discrédit et la vendetta. Du propos récupéré auprès du populo minuto et assaisonné au goût du jour, de la schnoutte en barre.
Non mais réellement, qu'est-ce qu'on en a à faire de cette droite revancharde et ennuyeuse? Notre deuil et eux devraient faire de même...
La plupart des tenants de la droite s'entendent pour dire que le projet souverainiste est irréaliste, passéiste et ne correspond plus à la réalité d'aujourd'hui. Au contraire, dans un contexte de mondialisation, les pays qui survivront seront ceux qui auront la possibilité de gérer leurs ressources naturelles et leur territoire. Il en va de même pour les revenus générés par l'état; laisser une partie de ces revenus à un gouvernement fédéral centralisateur de droite, équivaut à vivre sous un respirateur artificiel.
Ce que la droite ne comprendra jamais, c'est que le projet d'indépendance du Québec n'appartient à aucun parti; il est la responsabilité de chaque individu occupant le territoire ayant à coeur de vivre dans SA propre maison. L'argument de la droite; l'indépendance est une utopie, un concept éculé, un rêve inaccessible. Et la domination Anglaise, c'est du poulet?
Je vais contribuer à ce que JF Lisée mette la droite K-O en achetant son livre et en me régalant de la finesse de ses arguments, pour déboulonner tous les mensonges et les demi-vérités véhiculées par une poignée de tristes sires en manque d'auditoire.
Le courage selon Balboa, c'est faire face à l'adversaire et le respecter sans le craindre. C'est aussi moduler la frappe en fonction de la force de celui-ci, sans jamais perdre sa conviction...
jeudi 26 janvier 2012
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