lundi 13 août 2007

Homo erectus debilitis

Mais qu'est-ce qu'on a fait pour mériter que les «rappers» noirs traitent les femmes comme des objets sexuels de la pire espèce dans leurs clips? Sans parler du merveilleux monde de la pornographie où le mythe de la jeune blanche qui ne peut avoir de satisfaction qu'avec un immense organe de couleur, a la couenne plutôt dure! Sommes-nous en train de reculer sur la légitime bataille de l'égalité des sexes, où assistons-nous plutòt à une remontée d'une misogynie latente véhiculant avec elle d'innombrables énormités phalliques? Sommes-nous assez sexuels pour oublier que la sexualité puisse donner lieu à des préjugés raciaux ou sommes-nous racistes jusque dans les sexe?
Je désapprouve fortement les clips des «rappers» noirs qui traitent les femmes comme des objets sexuels, au simple risque de me répéter...

vendredi 3 août 2007

Tout,sauf un boomer!

Je suis tout sauf un boomer... Je n'ai pas de fonds de retraite, pas de chalet dans le nord, pas de REER, pas de syndicat avec une convention collective de couilles en or, pas de quoi que ce soit pour m'identifier au groupe responsable de tous les malheurs des générations montantes si désemparées et orphelines! Je me sens toutefois très concerné par le désarroi de ces générations , appelons-les x et y ou z...
On dirait que le mot débrouillardise n'existe pas dans leur langage, ou a disparu pour faire place au mot pessimisme, celui qui donne un genre plus mystérieux et ténébreux. Ce mot qu'on a pas besoin de défendre car une fois rendu à cette étape, le point de non retour est une solution facile!
Pourtant, jamais n'avons-nous été en face d'un bassin d'entrepreneurs potentiels aussi grand. Je ne suis ni devin, ni moralisateur, mais en trente ans de travail je n'ai jamais été syndiqué et je continue de croire que ces foutus gouvernements parallèles auraient bien besoin de se renouveller un peu...L'avenir des générations montantes est dans l'entrepreneurship et ça, nous n'avons pas besoin de leur lèguer, beaucoup d'entre eux l'ont déjà très bien compris. Mais qui suis-je pour donner un conseil aux plus jeunes?
Je ne suis qu'un simple observateur, père de deux fils dont l'écart d'âge est de 22 ans, ce qui me pousse à réfléchir très fort sur les phénomènes de type «babyboom», car on veut toujours le meilleur pour ses enfants n'est-ce pas? Je souhaite que mon fils de trois mois de la génération xyx123 au carré, devienne un grand mathématicien qui percera, au moins sur papier, le secret du renversement de la détérioration infligée à la terre depuis toutes ces années. Sans pouvoir espérer seulement un retraite paisible, peut-être pourra-t-il avoir une petite vie heureuse...